vendredi 27 juin 2014

Assemblée Générale du PNS 2014






                                                             MESDAMES, MESSIEURS

QUE DU BONHEUR !!!!!          UNE ANNEE D EXCELLENCE

C’est avec beaucoup d’enthousiasme que j’avais accepté le poste de président après avoir fait quelques pas au sein du conseil d’administration. Cette fonction, totalement nouvelle pour moi, m’a permis de découvrir l’envergure du poste, dont l’objectif premier est dassurer qu’un développement durable du club soit bien le résultat des choix fait au quotidien, qu’ils soient politiques (projet club), ou de simple gestion (finances).

La saison 2013-2014 se termine pour toutes nos équipes MASCULINES ET FEMININES, avec un parcours formidable en coupe de France (GIRONDINS et NANTES), le titre suprême de champion de FRANCE Nationale 1 et l’accès à la PRO D2 pour notre équipe première. Mais également la montée en NATIONALE 3, pour notre équipe Espoirs qui est largement constituée par ceux qui ont remporté le titre national des moins de 18 ans l’an dernier. Sans oublier le titre régional pour nos espoirs et vice champion pour nos moins de 15 ans masculins, nos trois titres départementaux pour nos équipes jeunes et le maintien pour les autres équipes . Merci au club de Morlaas et Barzun pour nos ententes Et pour couronné tout cela LABEL D’OR  d arbitrage et LABEL D’ARGENT à l école de hand ! Et bien sûr tous nos entraineurs qui ne comptent pas leurs heures, même si en fin de saison il n’y a pas de titre. Mais quelle formation pour tous ces jeunes et moins jeunes dont plusieurs ont participe à diverses sélection départementale et régionale. Et nos arbitres également, dont certains ont officié dans différents niveaux. BRAVO ET MERCI.

Je remercie les instances qui nous font le plaisir d’être avec nous : Mr Claude BORDE BAYLACQ Maire de Nousty, Mme Marie-Pierre CABANNE, notre conseillère régionale, Mme Nathalie CHABANNE, notre députée, Mr Jean-François MAISON notre conseiller général, Mme Josy POUEYTO 1ER adjointe de la Mairie de PAU, Mr Barrere JeanPierre et Mr Bernard POUBLAN représentant la CCOG , MR Jean-Claude MATHIEU président de l’OMS de Pau.           Mme Handy Regine comite départemental du 64 et ligue sans oublier l ancienne municipalité de Pau et Nousty       

C’est avec vous, PAU, NOUSTY, CCOG, CONSEIL REGIONAL, CONSEIL GENERAL, COMITE . LIGUE que nous poursuivons cette œuvre d’éducation et d’animation sportive débutée à Nousty il y a près de 70 ans !
Je souhaite que vous rapportiez auprès de vos instances les points forts de notre association tant sur nos valeurs  humaines, que sportives et morales. Merci pour vos aides et subventions si précieuses pour le Pau Nousty Sports

ET LES COMMISSIONS : QUEL TRAVAIL !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 La parole vous sera donnée tout à l’heure

Un sincère remerciement à tous les acteurs du club qui ont contribué à faciliter mon insertion dans cette responsabilité, les élus, les anciens de NOUSTY mais aussi le salarié ; sans oublier le formidable travail, essentiel à mes yeux, rendu au quotidien par tous nos bénévoles qui maintiennent l’effort toute une saison, comme nos joueurs sur le terrain.

Cette aventure humaine et sportive, très enrichissante, ne fait que commencer. Il reste encore un long chemin à parcourir pour adapter notre club à son environnement sportif et social, lesquels sont en profonde et rapide mutation. Notre projet de club porte cette ambition et cette volonté.

C’est en espérant encore de nombreuses saisons aussi brillantes que celle qui se termine, que je vous souhaite à toutes et tous une belle réussite, toujours dans l’esprit sportif, pour la saison qui s’annonce.


Merci  et bonnes vacances
        
                                                                       Gilles LAMUDE                                                               

                  



NOUSTY – Pau-Nousty-Sports.
Nousty reste chez lui.
Au moment où se déroulait son Assemblée Générale, le club de handball avait toujours son épée de Damoclès pendue sur la tête. Le fil d'argent que les responsables s'évertuaient à tisser pour la retenir n'avait pas encore été rongé par l'acide des décisions drastiques des instances financières nationales.
Maintenant le couperet est tombé !
Revoyons toutefois la carte de visite du club pour cette année : nous ne nous attarderons pas sur le titre de champions de France de Nationale 1, pour une équipe qui s'est frottée aux Girondins puis à Nantes, tout a été dit et bien dit, parce que bien fait ! L'équipe Espoirs, composée de jeunes ayant remporté le titre national Elite l'an passé,  monte en Nationale 3. Le titre régional pour nos Espoirs, le titre de vice-champions pour les moins de 15 ans masculins, trois titres départementaux pour les équipes jeunes et maintien pour toutes les autres équipes. Sans oublier le label d'Or pour l'arbitrage et d'Argent pour l'école de hand.
Bien sûr, cette énumération a un côté fastidieux ! Pourtant nous ne faisons que retranscrire la réalité !
Cerise sur le gâteau : les finances affichent un solde positif de près de 2.000 €, alors que l'an passé la tendance était inverse.
Démonstration terminée ! Les responsables du club peuvent se tourner sereinement  vers la Fédération et leur lancer : Qui dit mieux ? Tout ça avec 20 équipes et 400 licenciés ! Mais au fin fond de la France !
Plus prosaïquement, revenons au déroulement de cette assemblée générale.

Le président Gilles Lamude pouvait débuter cette assemblée générale en faisant état d'une "année d'excellence !"  Que du bonheur !", pouvait-il ajouter. Certes les résultats sportifs sont éloquents à plus d'un titre, grâce au dévouement des entraîneurs qui accompagnent les jeunes des sélections départementale et régionale jusqu'à l'arbitrage dans différents niveaux. De l'excellent travail !
"Une œuvre d'éducation et d'animation sportive qui dure depuis près de 70 ans", aventure humaine rendue possible par l'engagement des bénévoles des diverses commissions.

Les commissions.
Bernard Potier pouvait alors présenter un bilan financier excédentaire qui traduit en terme "d'efficacité" le rapport moyens-résultats sportifs. Comme il se plaisait à la faire valoir à un interlocuteur dubitatif : "C'est en vendant des frites que l'on fait vivre une association !", puisque l'apport pécuniaire de la commission Animation représente pas moins de 15 % des recettes du club. D'abord se retrousser les manches plutôt que tendre la main !
Il est certain que les résultats sportifs  ont boosté ce secteur, avec la venue des Girondins et de Nantes, qui ont généré des subsides supplémentaires.

Les commissions.
Animation – Bernard Pons.
Description imagée des activités de cette commission essentielle à la vie du club,

Matériel – Gilles Camborde.
Nouvel équipementier.

Sportive – René Rey.
22 équipes – équipe 1 en nationale – 4 autres équipes en régional et les 17 autres équipes en départemental. 374 licenciées joueurs et joueuses.
Résultats détaillés.
Plus d'équipes engagées pour la saison prochaine.
Remerciements aux parents pour les déplacements.

Marie- Pierre Cabanne : "très beau club, 70 ans d'histoire, qui a su transmettre".
Une année de promotion : toujours plus. Reconnaissance du travail des dirigeants, entraîneurs, animation, entretien.
"Faire beaucoup avec peu, mais on ne peut pas faire tout avec peu".
Subventions.
Moyen de mettre en place des opérations phares, qui apportent des finances.
Convention avec Navarre-Aragon-Euskadi. Europe. Erasmus plus-plus sport.
"L'argent a de la valeur quand on lui donne du sens".

Partenariat.
93.000 €
28 nouveaux partenaires.

Social.
Besoin réel. 20 dossiers. 9 solutionnés : emplois, stages en entreprise, entrées école. Réaction active des demandants.
S'entourer de plus de personnes : enseignement, chefs d'entreprise.
Connaissance parfaite de l'entourage du club : 1000 personnes en lien avec milieu du travail. Communication interne au club. Très bon état d'esprit des jeunes rencontrés.

Communication.
Photos, brochures, site.
Faire passer l'information : messagerie, réseaux sociaux. Calendriers, photos montage équipes.
Diaporama Torcy.

Administratif, logistique.
Planning match salle de Nousty. Informatisation souhaitée, permanence au bureau.
Transport, hébergement, restauration. Coût important.

Sabine Martinez.
Elle a commencé au PNS quand Aurélien était en école de hand – elle arrête quand il est senior.

Projet club.
Lucien Lahore.
Club mixte. Club de masse avec formateur : avancer.
S'ouvrir à des avis extérieurs au club : Christian Cuvelier.
Club qui doit évoluer en fonction de son environnement handballistique. Aller dans le même sens.

Christian Cuvelier.
Equipe qui a travaillé a présenté des faits pratiques  et des analyses pertinentes. Richesse des échanges.

Gilles Lamude.
Présentation des divers budgets en fonction des décisions à venir.

Claude Borde-Baylacq.
"Cultiver des valeurs à un niveau exceptionnel" Valeurs viennent de très loin.
Contacts très intéressants et pérennes." Franchi un cap ! ": D2 ou pas !
Transpire à travers tout ce qui a été dit dans cette assemblée.
On ne fait pas n'importe quoi avec l'argent, vu ce qu'il coûte à aller chercher.
Structure à adapter.
Jumelage : Espagne, Pampelune.
Tendre vers sans perdre son âme.


"Osons ensemble –Club atypique" – Gilles

"Valeurs qui accrochent. Certaine fragilité. Challenge pour amener jeunes à ce niveau. Beaucoup de travail."

"Professionnaliser sans perdre son âme.



Les personnalités remerciées :
Claude Borde-Baylacq, maire de Nousty ; Marie-Pierre Cabanne, conseillère régionale ; Natahalie Chabanne, députée ; Jean-François Maison, conseiller général ; Josy Poueyto, 1ère adjointe au maire de Pau ; Jean-Pierre Barrère et Bernard Poublan, représentant la CCOG ; Jean-Claude mathieu, président de l'OMS de Pau, Régine Handy, du Comité départemental et de la Ligue de Handball.

Récompenses et distinctions.
Bernard  Pons  et Francis Nouguez : Médaille de la Ligue
Serge Cauhapérou : Médaille  du Comité

 Equipe 1 : Trophée  Ligue et Comité,
trophée Pyrénées Sport

 Equipe 2 : Trophée  Ligue

 Sabine Martinez, Isabelle Bellier, Barri, Arnaud Pontaud  et Fred Azin : récompensés par le Pau-Nousty-Sports.

Article paru sur Pyrénées-Presse.

Nousty est si loin de Paris !

Au moment où se déroulait son Assemblée Générale, le club de handball avait toujours son épée de Damoclès pendue sur la tête. Le fil d'argent que les responsables s'évertuaient à tisser pour la retenir n'avait pas encore été rongé par l'acide des décisions drastiques des instances financières nationales.
Maintenant le couperet est tombé !

Une carte de visite éloquente.
Revoyons le parcours du club cette année : nous ne nous attarderons pas sur le titre de champions de France de Nationale 1, pour une équipe qui s'est frottée aux Girondins puis à Nantes ; tout a été dit et bien dit, parce que bien fait ! L'équipe Espoirs, composée de jeunes ayant remporté le titre national Elite l'an passé,  monte en Nationale 3. Le titre régional pour nos Espoirs, le titre de vice-champions pour les moins de 15 ans masculins, trois titres départementaux pour les équipes jeunes et maintien pour toutes les autres équipes. Sans oublier le label d'Or pour l'arbitrage et d'Argent pour l'école de hand.
Cette énumération a un côté fastidieux ? Pourtant nous ne faisons que retranscrire la réalité !

L'introduction du président, Gilles Lamude.
Le président Gilles Lamude pouvait débuter cette assemblée générale en faisant état d'une "année d'excellence !".  "Que du bonheur !", pouvait-il ajouter. Certes les résultats sportifs sont éloquents à plus d'un titre, grâce au dévouement des entraîneurs qui accompagnent les jeunes des sélections départementale et régionale jusqu'à l'arbitrage à différents niveaux. De l'excellent travail !
"Une œuvre d'éducation et d'animation sportive qui dure depuis près de 70 ans", aventure humaine rendue possible par l'engagement des bénévoles des diverses commissions.

Des efforts payants : des finances positives !
Bernard Potier pouvait alors présenter un bilan financier excédentaire de près de 2.000 €, qui traduit en terme "maximum d'efficacité" le rapport moyens-résultats sportifs. Comme il se plaisait à la faire valoir à un interlocuteur dubitatif : "C'est en vendant des frites que l'on fait vivre une association !", puisque l'apport pécuniaire de la commission Animation représente pas moins de 15 % des recettes du club. D'abord se retrousser les manches plutôt que tendre la main !
Chaque responsable fera ensuite le bilan d'une saison qui aura apporté une immense satisfaction à tous valorisant ainsi les efforts qu'exigent 22 équipes de 374 licenciés. Avec pour tous le désir de faire encore mieux dans un esprit de convivialité et d'efficacité.

"L'argent n'a de valeur que quand on lui donne du sens."
L'intervention de Marie-Pierre Cabanne, conseillère régionale, fut la synthèse d'une saison pour un club qui a su transmettre des valeurs et surtout "faire beaucoup avec peu". Le projet de club qui fut présenté, veut faire évoluer le club en fonction  de son environnement handballistique, avec des valeurs maintenues à un niveau exceptionnel, comme le reconnaissait Claude Borde-Baylacq, maire de Nousty : "évoluer vers le professionnalisme sans vendre son âme."

Beaucoup de trophées furent encore distribués lors de cette assemblée générale, tant de la part du club que des instances sportives.

Les personnalités invitées :
Claude Borde-Baylacq, maire de Nousty ; Marie-Pierre Cabanne, conseillère régionale ; Natahalie Chabanne, députée ; Jean-François Maison, conseiller général ; Josy Poueyto, 1ère adjointe au maire de Pau ; Jean-Pierre Barrère et Bernard Poublan, représentant la CCOG ; Jean-Claude Mathieu, président de l'OMS de Pau, Régine Handy, du Comité départemental et de la Ligue de Handball.


Inondation 25 juin 2014 (... et grêle !)

Inondations ...et grêle !


Inondations. Cette vidéo a été prise par Patrick Cazayous.

Vidéo de Jérôme Doubrère


Après la vidéo un peu effrayante de ce mur de clôture emporté par les eaux qu'il a retenues un temps, avant de céder sous la pression violente et subite d'une telle masse, voici également quelques photos.

Chemin d'Angaïs.

Au pied du mur qui a cédé

La route n'a pas été épargnée par la violence du courant.

Tout du long.

Tout a été emporté.


Les restes d'un poulailler.

Partout les mêmes dégâts sur la chaussée.













On peut aisément  - ou difficilement -  imaginer ce qu'on dut ressentir les résidents des maisons qui ont eu à subir la furie de torrents d'eau qui se sont si soudainement et abondamment abattu sur cet endroit. Au vu des dégâts occasionnés sur la chaussée, et de la vidéo choc de l'effondrement du mur qui essayait de retenir cette masse lancée, les habitations n'ont pas été épargnées par cette crue. Alors autant éviter toute curiosité malsaine.

Des dégâts similaires sur la chaussée au lieu dit impasse de Betteray, vers la propriété Cazassus.





D'autres dégâts, avec dommages matériels, chemin des Grives.
On reste surpris par la puissance
du cours d'eau
qui a pu ainsi entraîner une voiture. 



Mais déjà, on s'affaire à réparer.

Ce même cours d'eau a traversé la propriété Bergeret située au pied de la côte de la gare. Le courant était si fort et si important qu'il empêchait d'ouvrir les portails pour pouvoir le faire s'évacuer, d'où des dégâts dans l'habitation et les bâtiments attenants.

La remise en état route d'Angaïs a nécessité des moyens conséquents pour remettre tout en ordre.



















La remise en état du Chemin de Betteray (Cazassus) a été réalisé courant octobre 2014.
La société Horgue a dressé un mur de soutènement fait de bloc coffrage armés dans lesquels a été coulé du béton. La route a été rechargée et le ruisseau reprofilé.













Quelques photos également sur le passage de l'eau dans la cour de ferme.
Un gros trou 

Beaucoup de gravier.










Une capture de vidéos.

Un fossé qui déborde

L'eau passe un peu partout

Entrée du portail

Sur la route

















Que d'eau, que d'eau ! Mais cela n'ira pas plus loin !

On ne peut qu'être surpris par la violence de cette phase pluvieuse. A titre d'exemple, en plus des éléments déjà diffusés, une photo du chemin en haut de la Châtaigneraie, où un petit ruisseau de plein champ a pu arracher tout le revêtement du chemin et entraîner tous les cailloux.
Pour illustrer la puissance de l'eau, l'image de cette piscine soulevée par l'eau souterraine !

Pour couronner le tout il y aura un autre épisode orageux, avec grêle et inondation en haut du chemin d'Angaïs vers le hameau.
Photo des dégâts sur la route par Patrick Cazayous (sur le site de la République)
Vidéo de l'orage de grêle dans le village (à l'abri de la grange Laraignou)
Des maïs touchés par le grêle

mardi 24 juin 2014

"Les exemples vivants ..."

"Les exemples vivants sont d'un autre pouvoir" - Corneille - Le Cid.

Nous avons fait rire plus d'un joueur nouvellement auréolé du titre de champion de France, en lui disant que de leur serrer la main devenait un geste qui aurait des répercussions hygiéniques ; à savoir que pour préserver ce contact à haute valeur symbolique pour celui qui en profite, il n'était plus question de se laver la
main (au moins un certain temps !)
On leur devait bien ça !
Des images et des souvenirs du retour de nos champions nous en garderont de nombreux en mémoire, et sur les moyens modernes de communication, également. Mais au-delà des marques visibles qui resteront, il y aura la présence de ces jeunes agglutinés devant l'estrade où s'exposaient nos joueurs. Et c'est l'une des choses que nous voulons retenir des diverses apparitions de nos joueurs.
Pour saluer à sa juste valeur, l'attitude des maîtresses, à l'initiative de Mme. Deboulle, la directrice, d'avoir sollicité la présence des champions, bien fatigués assurément - les interviews télévisés en témoignent - afin de recevoir un hommage bruyant sincère et mérité de la part des enfants de toute l'école. Jusqu'à les faire asseoir derrière un pupitre et leur imposer une dictée ! Avaient-ils l'esprit assez clair ? Cet exercice, auquel ils se sont prêtés avec leur gentillesse habituelle, a donné lieu à une remise de diplômes, dont le moins que l'on puisse dire, est qu'il a dû bien faire sourire ceux qui l'ont reçu, autant que celles qui l'ont rédigé.

Autre moment fort - et qui aurait mérité d'être immortalisé sur pellicule - la rencontre avec Bernard Courades (92 ans), président fondateur de notre club. Bernard personnifie à lui seul le parcours d'un club, des terrains boueux des débuts jusqu'à cet accomplissement sportif de haute tenue. Mais toutes ces péripéties ne sont que des étapes ponctuées par des visages et des actes posés par tant et tant de personnes qui ont su prendre en compte la spécificité de ce club et de son environnement culturel.
Francis Nouguez nous a raconté la joie de Bernard à la vue du véhicule transportant les champions, qu'il accueillit à la fenêtre de sa cuisine avec un sourire qui transfigurait les années passées écrites par ce club, son club.
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jeudi 12 juin 2014

Chroniques nécrologiques 2014


Madeleine KIEBEL
Tous ceux qui ont vécu à Noustydepuis toujours ou qui y sont seulement passés, tous ont connu "Ménotte", et plus précisément "Ménotte dou Courdè". Son bistrot-épicerie-station d'essence battait comme le cœur du village ; elle en fut le témoin, accompagnant tous les actes de la vie paysanne de notre commune.
Présence privilégiée, actrice essentielle, elle a vu la maison familiale évoluer avec le temps. La salle de bistrot était devenue le deuxième lieu de vie des gens du village, et de l'extérieur. 
Qu'il serait riche le livre d'or de la maison Courdé si elle avait du y consigner toutes les péripéties et anecdotes qui en ont constitué la trame. Sa vie fut faite d'accueil puisque, Rémi, son époux, était un réfugié de la lointaine Lorraine. Et puis le hand, dont la salle de bistrot fut la première chapelle à recueillir tous les trophées et à célébrer toutes les victoires et parfois aussi consoler des défaites. Et la vie publique qui trouvait là un prolongement naturel, souvent haut en couleurs et en paroles.
Elle avait tenu à demeurer dans la maison familiale d'où elle prenait plaisir à saluer, de sa fenêtre, tous ceux qu'elle voyait passer, comme elle les accueillait autrefois avec la même courtoisie.



René LAFUSTE.
La maladie avait éloigné René de notre village, de son village. On ne saurait dire et faire mieux : le nom de son père est inscrit sur le Monument aux morts de notre commune. Il dut alors prendre la responsabilité de la ferme familiale, en même temps qu'il exerçait le métier de maçon. Avec Raymonde, il  y construisit  son noyau familial dans la tradition béarnaise. Cela ne l'empêcha pas de participer à l'aventure du club de handball, dès ses débuts, à la fois comme joueur et dirigeant. Engagement qu'il prolongea en occupant le poste de conseiller municipal, toujours au service des autres. Il était de toutes les animations qui pouvaient se dérouler dans le village, apportant un dynamisme et esprit de camaraderie qui lui étaient propres ; rappelons-nous la course des conseillers municipaux. Ses attaches étaient si profondes avec notre communauté qu'il continuait à être présent lors de la fête locale. Et il connaissait si bien notre village, et tout ce qui en faisait le charme, lui qui l'a parcouru si longtemps à l'époque de la chasse.
A Babeth et Jean, Lisa, Pauline et Baptiste, nous présentons nos plus sincères condoléances.

Bernard TRABESSE.
Bernard était devenu une silhouette familière devant le portail de le ferme familiale. Il était le point de rencontre privilégié de ceux qui traversaient le village ; et il n'était que de voir les attroupements qui se formaient autour de lui et la bonne humeur qui y régnait pour comprendre qu'il y était pour une bonne part. Puis petit à petit, il a regardé, d'un peu plus loin, la vie du village passer devant chez lui, pour s'en éloigner, ne voulant pas imposer aux autres la vue d'une maladie qui le réduisait à un rôle si soumis. Lui qui fut, toute sa vie durant, habitué aux contraintes d'une vie professionnelle, en partie salariée à Pontacq d'où il était issu, et celle d'exploitant agricole qu'il a prolongée en y créant son foyer, avec Jeannette, bien trop tôt disparue.
Ses petites filles, qu'il accompagnait à 'école chaque matin, occupaient désormais sa vie. 
Sa droiture et son honnêteté lui valaient l'estime de tous ceux qui ont pu l'approcher. C'est pour cela que son souvenir restera dans le cœur de ceux qui ont partagé avec lui ne serait-ce que quelques instants.

Robert FROMENT.
C'est un très bel hommage qui a été rendu à Robert Froment, par ses enfants. Sincère, émouvant et combien mérité. Pour saluer la mémoire d'un papa issu d'une famille nombreuse, qui fut accueilli par une famille du Sarcen. et qui s'expatria professionnellement au Canada avec son frère, Gaston, et Armand Peyrous. Il revint au pays fonder une famille avec Marie grâce à qui il put mettre en valeur ses qualités d'accueil unanimement appréciées par tout le voisinage. Robert était d'une approche simple et agréable ; l'éloignement de son domicile du centre du village rendait sa présence encore plus précieuse à fréquenter chaque fois que l'on pouvait le rencontrer. Tant que cela lui a été possible, il a participé au repas des anciens et n'hésitait pas à y pousser la chansonnette. 
Nous associerons à son souvenir, celui de son épouse Marie, qui fut une seconde mère pour les enfants du voisinage. Et Gaston dont le caractère jovial et l'énergie physique ont parcouru beaucoup de fermes du village.

Jean-Joseph BERGERET.
Il était issu d'une grande famille de Meillon. Il avait traversé la colline pour venir fonder sa famille, avec Josette, chez nous, à la maison Laban. Il s'était impliqué dès son arrivée dans la vie de notre communauté au point que tout le monde l'appelait Jeannot. Le monde agricole était son monde et il n'hésitait pas à proposer sa participation active dès qu'elle était sollicitée. Son dynamisme et la disponibilité dont il faisait preuve l'amenèrent à encadrer des jeunes pour pratiquer le foot. Ce qui ne l'empêcha pas de se mettre à disposition du club de hand lors de séances récréatives où sa verve dynamisait toute une troupe.
Et si parfois son énergie lui provoqua quelque accroc physique, l'estime que lui portaient ses amis  l'aida à surmonter cette épreuve. Parce que tous le savaient respectueux des autres et soucieux de trouver chez eux les qualités humaines dont il faisait preuve à leur égard.

Berthe BERNADETS.
Berthe était l'image même de ces mamans bienveillantes de la campagne dont la bonté naturelle les conduit à rassembler autour d'elles tous les membres de leur famille. Comme si elle avait construit une bulle autour de la maison familiale pour y garder bien au chaud tous ces enfants qu'elle avait vu naître et grandir autour d'elle. Grâce à Janine et Marie-Thérèse, elle avait vu se prolonger les preuves d'affection qu'elle-même avait su prodiguer.
Elle était également gardienne de l'histoire de ce coin du hameau, puisqu'elle était venue en voisine fonder son foyer à Nousty, Elle en savait toutes les composantes qu'elle avait côtoyé durant ces années passées auprès de notre communauté. Elle est partie discrètement, comme elle a vacu, avant que n'arrive l'année nouvelle. Nombreuses auront été les marques d'affection qui l'auront accompagné durant ces dernières années et jusqu'à son dernier voyage parmi nous. 



mercredi 4 juin 2014

Chroniques nécrologiques (suite)


L'hommage qui a été rendu à certaines personnes de Nousty se doit d'être poursuivi. Certes de manière aléatoire, mais prolongé tout de même.
(S'il y avait des noms que vous ne voyez pas apparaître, n'hésitez pas à me le signaler. 
Il est évident toutefois que je ne puis connaître toutes les personnes résidant ou ayant résidé sur le village. Leur nom apparait sur chaque bulletin communal de fin d'année : chacun peut ainsi leur rendre hommage en se souvenant.)

Marie-Louise Bergeret
Maman de famille nombreuse, admirable d'abnégation et de courage, de dévouement accepté sans qu'elle ait conscience de la somme d'affection que cela signifiait. Au terme de  son passage parmi nous, elle aura mérité l'hommage de toute la population.

Arlette Biraben-Debersée.
Arlette était une femme de caractère qui a participé activement à la vie du village. Elle a en effet fait partie de l'équipe qui a monté la bibliothèque et participé encore plus activement à l'exposition sur la mémoire de Nousty où elle a apporté des documents familiaux qui ont démontré son attachement à ce village. Elle n'a jamais cessé de participer aux activités qui s'y déroulaient.
Serge Debersée.
Avec elle, hommage doit être rendu  à Serge qui fut correspondant de presse Sud-Ouest, et de ce fait témoin privilégié de la vie locale. Personne discrète mais efficace, toujours disponible, son souvenir mérite de le compter parmi nous.

Pierrot Cabanne.
Il eut son moment de plaisir en étant cité, avec photo, sur le journal local dans son activité de vannier : "Modeste industrie qu'il pratique pourtant depuis bien longtemps, les photos familiales sont là pour l'attester : sur l'une d'entre elles il pose avec son petit-neveu encore enfant et, trente ans, plus tard, avec son arrière petite-nièce."
 Et si Pierrot est obligé d'approcher un peu plus ses mains de ses yeux pour réaliser ses paniers, c'est pour faire passer à travers son travail manuel toute l'attention et l'affection qu'il apportera à ceux qui seront les utilisateurs privilégiés de ces ouvrages".

Annie Coucurou (Peyrous.)
Un visage doux et souriant qui révéla une force d'âme et un courage qui ont marqué tous ceux qui l'auront accompagné.Pour avoir célébré la vie comme elle seule pouvait le faire,elle aura laissé une émotion sans pareille dans le cœur de chacun. Elle aura apporté le bonheur par delà son départ en suivant de là-haut le mariage de Lionel et Sonia. Pour nous tous, une petite sœur qui s'est révélée une grande dame.

Lucienne Courades.
C'est l'image même de la maman bienveillante, attentive à la vie de sa famille, soucieuse des obligations de la vie à la campagne mais toujours disponible pour accueillir avec une gentillesse sans égal ceux qui franchissaient le seuil de sa maison. Elle fut le témoin de toutes les transformations qui firent évoluer l'exploitation familiale, ainsi que le village - le club de hand, par exemple- sa présence apportant constance et sérénité à ces évolutions.


Annie Desmarets (Daugas)
Annie a connu la vie de  toutes les petites filles de notre village. La maison familiale, au centre du village, fut le cocon familial où elle a passé une grande partie de son existence, avant qu’elle aille construire son foyer bien loin de chez nous. Elle avait plaisir à y revenir jusqu'à ce qu'elle connaisse la même douleur que sa sœur Jeannette.
Marie Daugas.
Elle avait suivi sa fille,Annie, en portant dans son cœur le souvenir de sa terre natale. Il n'a certainement pas du la quitter jusqu'à ses derniers instants.


Jean Diu
Fils du village qui est passé par l'école communale, qui a grandi au milieu des jeunes et puis que sa vie professionnelle a éloigné à Bordeaux. Mais Jean a toujours été fidèle à son village où il venait retrouver ses conscrits pour la fête locale et pour les retrouvailles de ceux de sa génération. Une vie trop vite passée, mais un souvenir qui demeure.

Pierrette Esteben.
Si la discrétion et la gentillesse devaient avoir un visage  ce serait celui de Pierrette. Toujours un sourire et une parole aimable chaque fois qu'on la rencontrait, et toujours au service des autres. Cela suffit à rendre une absence plus difficile à supporter.

Jean-Claude Loustau.
Il était des "grands" quand nous sommes arrivés à l'école. Il fut encore un grand en nous accompagnant lors des études sur Toulouse où il avait entamé sa vie professionnelle. Pour garder le lien avec le village, il pratiquait le handball et nous intégra à son équipe. Puis il est revenu au pays, pour un temps bien trop court pour pouvoir lui redire le plaisir de le retrouver parmi nous.

Jean-Marc Sarthou
Pour des raisons facilement compréhensibles, je n'en dirais pas trop sur Jean-Marc. Il avait le sens de l'humour, mais jusqu'à nous quitter un 1er avril ...

Cette page peut être considérée comme étant sujette à d'éventuelles modifications, au fur et à mesure que je compléterais les portraits des personnes disparues.
Cet exercice se révélant d'une certaine difficulté littéraire, facilement compréhensible ; du moins parce que c'est ainsi que je l'ai voulu, ou que je l'assume.
Ci-dessous, le nom de quelques personnes dont je voudrais associer le souvenir à ceux précédemment réalisés. 


Philippe Laborde, le sympathique restaurateur de l'hôtel des Touristes. Amoureux de la nature, pêcheur, chasseur, amateur de champignons.

Pierre Menjot, qui exerça le métier de maquignon, à la maison Goallardou. Un homme que l'on avait plaisir à saluer et qui savait se faire discret.

Claude Teulé, un peu éloigné de l'autre côté de la route nationale, mais toujours si proche quand il venait retrouver ses amis, au village et à la salle des sports.

Loulou Laborde, le si sympathique et dynamique transporteur, qui accompagna les pérégrinations sportives de nos joueurs et suivit ainsi l'évolution de notre club auquel il resta fidèle, ainsi qu'au village.

Plus récemment :

Jean Pouey-Peyrucq.
Installé dans notre village depuis quelques années, il avait su s'intégrer à la vie de notre communauté au point de s'occuper, avec son épouse, de la boutique du club de hand. Toujours affable, accueillant, le sourire au lèvres, chacun allait le saluer pour mieux profiter de cette gentillesse qu'il ne savait que distribuer à tous.
Il nous a quitté avec la même discrétion qu'il a passé parmi nous. C'est pour cela que son souvenir ne pourra pas nous abandonner.














dimanche 1 juin 2014

Champions de France


Vous trouverez une compilation du séjour à Torcy et du retour à Pau et Nousty, d'une part sur le site du PNS pour les rendez-vous sportifs et sur le site nousty.fr pour le retour au village.

C'est ça aussi des champions de France !
Il est des images qui en disent mieux qu'un long discours. Alors gardons dans notre esprit, comme une incrustation, cette photo d'un joueur - peu importe de qui il s'agit - déguisé en gaulois et traînant sur un petit cheval une fillette ravie de profiter de cet étrange attelage. Au sortir d'un match riche en intensité et émotion qui décidait un peu de la fin de saison, et de son désormais fameux Final Four. Une manière de décontraction, qu'il a su avec partenaires et amis, prolonger jusqu'au petit matin.
D'accord, il ne se doutait pas encore qu'il allait devenir champion de France !

Alors, ne vous étonnez pas si on les aime comme cela, nos joueurs. Ils sont tellement nature et si directs, que l'on se demande comment nous allons pouvoir continuer à les approcher, tous auréolés qu'ils sont. Ils ont su nous conquérir, alors nous nous les sommes appropriés. Nous leur avons collé une devise pour le moins ambiguë : "Plus est en nous", et ils nous en on fait la démonstration plus qu'éclatante. Nous serions tentés de reprendre la célèbre formule : "Mais jusqu'où s'arrêteront-ils ?" - Quousque tandem ...
Pourtant nous en avons vu des joueurs dont les qualités physiques et sportives laissaient les nôtres quelque peu dubitatifs. Mais il leur en fallait plus.

C'est quoi l'avenir ? C'est déjà maintenant !
Pourquoi se mettre martel en tête ! Profitons pleinement des instants magiques qui nous ont été donnés de vivre grâce à eux. S'ils aiment les superlatifs, ils vont pouvoir en faire collection ! Des moments comme ceux qui ont été donné de vivre, même par procuration, cela ne peut qu'amplifier l'émotion !
La gare de Pau qui affiche le titre des Noustysiens sur son tableau d'affichage, la haie d'honneur dans le hall et toutes les manifestations venues du fond du cœur pour se prolonger dans le village, à l'école où les joueurs ont su si gentiment jouer les vedettes pour des enfants ravis de leur réserver un accueil si sympathiquement orchestré par les maîtresses. Les journaux, la télé, que demander de plus ! Ils le méritaient bien !

Mais ça passe vite ?
Et ça coûte !
Surtout quand on est suspendu à des décisions qui se veulent sans appel ! Et que le seul appel digne d'intérêt est celui du billet de banque ! Parce que si c'est ça le critère de sélection, et bien, les instances financières de la Fédé nous auront bien involontairement donné un sérieux coup de pouce.
Je m'explique :
Avec un budget de 300.000 €, le club du Pau-Nousty-Sports est capable d'amener une équipe jusqu'à la nationale 2, en accrochant au passage le titre de champion de France N1.
Mais pour naviguer en D2, il faut au minimum 800.000 €.
Si je compte bien, tout le travail fourni par le club pour atteindre le niveau supérieur peut donc désormais être évalué. Nous qui nous sommes toujours plaints que le travail des bénévoles ne soit pas quantifiable, nous voilà renseignés !
-"Mesdames et Messieurs qui faites vivre le club avec vos petits bras, votre travail vaut  ... 500.000 €". Évaluation officielle !

Lors de ces compétitions, les supporters de Nousty ont pu approcher des joueurs de D2 et juger de l'abîme que creuse l'argent dans le sport et dans la mentalité de joueurs, bien proches de notre niveau, mais plus que suffisants dans leurs attitudes.
C'est pour cela que le Pau-Nousty-Sports est et restera le caillou dans la chaussure des instances décisionnaires du handball.

Mais alors, comment on fabrique des champions ?
Vous en connaissez des salles de sports où c'est une tribu gauloise au grand complet, chef barbu hissé sur le pavois, en tête, qui viennent apporter le ballon du match, au début d'une rencontre officielle ? Folie communicative quand tout le public est accoutré de même !
Vous en connaissez des clubs où les champions de France vont fêter leur titre à l'école communale, au milieu des enfants et de leurs maîtresses ?
Où des jeunes qui furent champions de France Elite se retrouvent avec leurs aînés pour un nouveau titre national ?

Vous voulez des professionnels ? Mais nous on en a plein !
Comment pensez-vous que l'on a organisé les finalités nationales des moins de 18 ans, l'année passée, où les représentants de la Fédération et les clubs invités n'ont cessé de couvrir d'éloges tout le club pour une telle organisation, où sérieux et efficacité rimaient avec convivialité et sympathie ?
En quels termes pensez-vous que les joueurs de Nantes (D1) se souviendront de leur passage à dans la salle des sports de Nousty ? Et le public ?
Pouvez-vous imaginer, qu'après un match officiel où le grand chef gaulois surplombant sa tribu, vient apporter le ballon du match, la salle de sports puisse se transformer en salle de restauration et accueillir près de 300 personnes, et retrouver sa destination première dans le même laps de temps ?
Et si tout cela n'était que des faits ponctuels, en quoi cela pourrait-il être considéré comme remarquable ?
Mais ils se renouvellent avec une telle régularité que seuls ceux qui y participent peuvent en apprécier l'engagement. Ceux qui en profitent sont aussi conscients de ce qui leur est proposé !
Pour ce qui est du domaine sportif, il est connu et est ressassé à maintes occasions ; il est donc inutile de le citer dans cette énumération !
Et si tout cela n'est pas l'affaire de professionnels, qu'on nous explique ! D'autant, comme nous l'avons expliqué plus haut, les instances décisionnaires l'ont chiffré !

Evidemment que je délire ! Et vous m'avez laissé faire ! Il faut dire que le sujet s'y prêtait !
Un peu de mauvaise foi ne peut faire de mal quand on doit se battre contre des réglementations restrictives dont la justification nébuleuse handicape sérieusement l'avenir de certains clubs sportifs pourtant porteurs davantage d'espérances humaines que des comptes en banque abondamment fournis.